Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 16:29

3. Les indications qui permettent de situer les actions

dans le temps sont : chaque matin (ligne 3), ensuite

(ligne 4), un beau jour (ligne 6), chaque jour

(ligne 6), désormais (ligne 7), chaque matin (ligne 8),

le lendemain matin (ligne 11), puis (ligne 20), le

lendemain matin (ligne 21), quelques mois (ligne 24),

puis, un beau matin (ligne 25), lorsque (ligne 25),

chaque matin (ligne 33), chaque jour (ligne 38), tôt

ou tard (ligne 39), toujours (ligne 40), longtemps

(ligne 43).

4. Le passé simple est le temps dominant : il souligne

les actions importantes de l’histoire.

5. Désignation des personnages :

– l’homme riche : un homme riche à jeter l’argent

par la fenêtre, le richard.

– l’homme pauvre : un pauvre homme, le pauvre.

6. Question annulée.

7. Les sentiments successifs éprouvés par le riche

sont : la pitié (ligne 7), la surprise (« surpris et déconcerté », ligne 17), l’agacement (lignes 26 à 29).

8. -Les qualités du porteur de bois : il est travailleur

(lignes 4 et 5, 20), poli (lignes 12, 19), il se contente

de peu (ligne 19), il connaît la valeur des choses

(lignes 31 à 34), il est responsable et indépendant

(lignes 35 à 39).

- Les défauts de l’homme riche : il est dépensier et

ne connaît pas la valeur des choses (ligne 1), oisif ( inoccupé)

(ligne 2), irritable ( qui se met vite en colère) (lignes 26 et 27), faussement généreux et altruiste ( qui se donne aux autres )(lignes 28 et 29, 40 à 43). En somme, ces deux personnages sont totalement opposés.

9. Face au changement de comportement du riche,

le pauvre « éclata de rire » (ligne 30) : il s’attendait

à ce que le riche se lasse de lui donner une simple

poignée de poussière tous les matins.

10. Pour le riche, la poignée de poussière n’a aucune

valeur. En revanche, le pauvre la compare à « une

poignée de métal précieux » (ligne 19). Pour le

pauvre, ce n’est pas tant la poussière qui a de la

valeur que le geste de générosité.

11. On apprend par ce conte qu’on n’est jamais mieux

servi que par soi-même, qu’il ne faut pas compter

sur les autres qui finiront un jour ou l’autre par

faire des reproches. Par ailleurs, ce conte fait réfléchir

aux actes de générosité : ce n’est pas ce qu’on donne

qui compte ; le fait de donner, l’acte, importe plus

que le don lui-même qui n’a que peu de valeur.

Partager cet article
Repost0

commentaires